Dan Biancalana est le rapporteur du budget 2022

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Publié le 19.07.2021 à 17h09 Mis à jour le 09.08.2022 à 09h51

Les membres de la Commission des Finances et du Budget ont nommé Dan Biancalana (LSAP) comme rapporteur du projet de loi concernant le budget des recettes et des dépenses de l'État pour l'exercice 2022. Ce projet portera le numéro 7878. Dan Biancalana prendra donc la suite de François Benoy (déi Gréng) pour 2021, Yves Cruchten (LSAP) pour 2020 et d'André Bauler (DP) pour 2019.

 
Le rapporteur du budget 2022 Dan Biancalana (LSAP)

Les travaux parlementaires sur le budget se déroulent toujours entre début octobre et mi-décembre : le Ministre des Finances Pierre Gramegna déposera le projet de loi la semaine de la rentrée parlementaire. Le débat et le vote nt lieu en séance plénière à la mi-décembre. Entretemps, le rapporteur du projet de loi chapeaute les travaux liés au budget au sein des différentes commissions parlementaires. Les membres de la Commission des Finances et du Budget auront une série d’échanges de vue avec les acteurs externes. L’ensemble des commissions parlementaires examineront les points budgétaires qui les concernent.

 

Le budget est la loi qui établit et autorise l’ensemble des recettes et dépenses prévisionnelles de l’Etat pendant une année. Retrouvez plus d’informations sur les actions de la Chambre des Députés pour cet « acte d’autorisation » qui est établi selon toutes les règles de la procédure législative en cas d’initiative gouvernementale.

Echange de vues avec la CHFEP sur le système fiscal

Par ailleurs, la Commission des Finances et du Budget a eu une discussion ce vendredi avec les représentants de la Chambre des fonctionnaires et employés publics (CHFEP) sur les différents types de taxes et d’impôts. Cette entrevue s’inscrit dans une série de rendez-vous afin de préparer le débat d'orientation sur la modernisation et les défis de notre système fiscal.

 

Ainsi, les représentants de la CHFEP se sont exprimés en faveur d’un impôt sur la spéculation, mais y voient des difficultés par rapport à l’application concrète sur le terrain. En outre, ils ont souligné qu’ils étaient opposés à un impôt sur la succession en ligne directe.