Séance publique (14h) : le reclassement d'environ 400 policiers
Les députés sont réunis en séance publique à 14h. Voici les points forts:
- une heure de questions au gouvernement
- le reclassement dans le groupe de traitement B1 de certains membres du cadre policier
- deux motions : violence en milieu scolaire et l'interdiction des appareils numériques à l'école
Une heure de questions
Retrouvez ci-dessous les questions des députés au gouvernement :
- Conclusions de la troisième Conférence des Nations unies sur l'Océan qui s'est tenue à Nice (Maurice Bauer, CSV)
- Agressions à la seringue visant des femmes (Taina Bofferding, LSAP)
- Uniformisation du travail à domicile au sein de la fonction publique (Corinne Cahen, DP)
- Recrutement genré à l'Université du Luxembourg (Tom Weidig, ADR)
- Protection des journalistes et des organisations non gouvernementales contre des procédures judiciaires abusives (Sam Tanson, déi gréng)
- Offre de formation dans le domaine de la cybersécurité (André Bauler, DP)
- Référendum sur la réforme des pensions (Marc Goergen, Piraten)
- Disparité entre demandes et bénéficiaires du REVIS (Marc Baum, déi Lénk)
- Usage détourné du protoxyde d'azote (Mars Di Bartolomeo, LSAP)
- Exigences bancaires de la BCEE pour les ASBL (Jeff Engelen, ADR)
Deux motions

À partir du 2 juin 2025, un règlement grand-ducal imposera de nouvelles règles d'utilisation des appareils numériques dans les 38 lycées du pays.
Le reclassement dans le groupe de traitement B1 de certains membres du cadre policier
Le projet de loi vise à reclasser dans la catégorie de traitement B1 les membres du cadre policier actuellement classés en groupe de traitement C1, titulaires d’un diplôme de fin d’études secondaires et recrutés avant la réforme de 2018. Environ 400 agents de la Police sont concernés par ce reclassement. Les dispositions du projet de loi s’appliqueront de manière rétroactive à partir du 1er août 2018.
Vers un regroupement de certains brevets de maîtrise
Le projet de loi 8324 vise à réorganiser la formation menant au brevet de maîtrise. Actuellement, celle-ci se décline en 31 brevets distincts, chacun correspondant à un métier. L’objectif est de les regrouper en une quinzaine de brevets, structurés par grands domaines d’activité. Cette réorganisation répond aux nouvelles attentes des clients, aux évolutions structurelles des entreprises et a pour objectif d’attirer un public plus large à cette formation. L’accent est dorénavant mis sur le développement des compétences plutôt que sur l’obtention de droits spécifiques.